37 – Petite Flore Portative de l’Aveyron


31 € TTC

Par Christian BERNARD, 545 pages, 2012

Cette Flore a pour objectif d’offrir à tous ceux qui s’intéressent à la botanique floristique de l’Aveyron (chercheurs, enseignants, aménageurs…) un inventaire aussi complet que possible de la flore vasculaire connue actuellement, accessible par des clés de détermination, et de fournir pour chaque espèce un certain nombre de renseignements concernant la taille, la phénologie… (voir Renseignements divers accompagnant chaque espèce). Cet inventaire a été établi en prenant pour base « L’Aveyron en fleurs » ou Inventaire illustré des plantes vasculaires du département de l’Aveyron (Christian BERNARD, 2005), établi à partir du Catalogue des plantes de l’Aveyron (Joseph TERRÉ et al.) et des deux éditions de la Flore des Causses (Christian BERNARD, avec la collaboration de Gabriel FABRE, 1997 et 2008 ; voir bibliographie dans ces ouvrages) auxquels ont été ajoutées des données nouvelles et récentes qui sont prises en compte suite aux prospections poursuivies, années après années, depuis la date de ces publications. La nomenclature utilisée est celle du Code informatisé de la Flore de France par H. BRISSE et M. KERGUÉLEN, décembre 1998, sauf exceptions : pour les Fougères…le Guide par R. PRELLI et M. BOUDRIE, 2002, pour les OMBELLIFÈRES, la remarquable monographie de J.-P. REDURON, 2007-2008. Puisse ce travail encourager de nombreux chercheurs ou amateurs à poursuivre les recherches entreprises pour une meilleure connaissance de la flore de notre département et sa protection.

Remarque : une erreur s’est produite lors de l’impression de l’ouvrage. Deux pages sont en doubles. Il manque donc deux pages. Nous en sommes désolés. Vous pouvez les télécharger ici : récupérer la page 84 et récupérer la page 177

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36 – Florilège


12 € TTC

Par X. LOISELEUR-DESLONGCHAMPS, 129 pages, 2011

« Cet ouvrage était à l’origine destiné à un usage familial afin de mieux faire connaître les travaux de l’aïeul commun à toutes les branches Loiseleur des Longchamps d’aujourd’hui. N’étant ni botaniste, ni historien de formation, ma seule ambition était de vulgariser simplement une science que j’ai modestement approchée. Poursuivant l’oeuvre de mon père Philippe qui avait écrit une biographie sur Jean- Louis-Auguste Loiseleur-Deslongchamps sous le titre De cèdre et de rose, en cours de réédition, cet essai, loin d’être exhaustif, sera, je l’espère, suivi d’autres plus savants, relatant le travail immense de ce botaniste méconnu. Nous connaissons bien dans notre famille Loiseuleria procumbens, petite azalée des montagnes. Le nom (genre) de cette plante est une attribution botanique, c’est-à-dire qu’il a été donné par un autre botaniste en hommage à notre aïeul médecin et botaniste Jean-Louis-Auguste Loiseleur- Deslongchamps (Dreux 1774 – Paris 1849). Il n’est pas si courant qu’un nom de genre de plantes soit donné à un botaniste, ce qui honore d’autant plus sa mémoire. Mais connaissons-nous toute sa contribution dans l’inventaire et la nomenclature des plantes en France ? Tous les noms d’espèces dont il est l’auteur ? Près de 400 taxons (dénomination universelle en latin) existent encore dans la nomenclature scientifique botanique, même s’ils ne sont pas tous valides. » L’important travail de recherche effectué à la mémoire de son ancêtre vous familiarisera avec toutes les plantes en rapport avec « Loiseleur » et « Deslonchamps ». Abondamment illustré par les photos de membres de la SBCO, voilà un ouvrage vivant qui rend hommage à ce grand botaniste que nous connaissions tous peu ou prou.

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35 – Les Renonculacées de France


45 € TTC

Par A. GONARD, 492 pages, 2011

Parcourir ce livre. c’est à la fois:- découvrir de façon synthétique et systématique en un seul ouvrage de format pratique et facilement utilisable sur le terrain. toutes les espèces indigènes françaises d’une même famille : les Renonculacées :
– redécouvrir les flores et les herbiers plus anciens :- explorer tous les étages de la végétation. depuis les prairies. forêts. mares. étangs et ruisseaux fleuris de renoncules aquatiques. jusqu’aux sous-bois abritant pigamons et hellébores. a près avoir traversé des champs de céréales. refuges de quelques nigelles ou dauphinelles. les pâturages élevés parsemés de pulsatilles. les sommets rocailleux et enneigés.là où d’autres renoncules ont trouvé refuge:
– présenter chaque espèce par sa fiche descriptive et ses nombreuses illustrations.permettant une détermination rapide ou une simple confirmation :
– constater. avec surprise. comment se sont re trouvées unies dans une même fa mille des plantes de morphologies si différentes:
– réaliser avec étonnement combien cette famille apparait comme exceptionnelle.par la toxicité. à degrés divers. de la quasi-totalité des espèces le constituant :
– continuer â exposer et â sensibiliser le public sur la fragilité de ce monde que nous foulons sou s nos pieds. vis-â-vis du péril destructif et presque irréversible. de la biodiversité sur notre territoire et au niveau planétaire:
– apprendre à connaître. donc à respecter chaque espèce banale et fréquente ou endémique et exceptionnelle. chaque milieu et ses menaces pesant sur lui. chaque utilité pharmacologique. présents au sein de cette biodiversité :

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32 – Petite Flore portative des Causses

Petite Flore Portative des Causses

Par C. BERNARD, 443 pages, 2009

Il s’agit là d’un ouvrage totalement différent de la première édition, pour usage sur le terrain, ce qui était difficile avec son aînée (1400 g, 16,2 x 23,1 cm, couverture rigide, 784 pages). Dessins de Coste, cartes de répartition, texte ont été supprimés. Reste : clés et descriptions. 444 pages, 460 g, 13 x 20 cm, couverture plastique souple et protège-couverture transparent. Cela lui permet d’être transportée aisément dans sa poche, comme les « Clés » de Flora Helvetica ou la « Binz ».

A mettre dans la poche de tous les botanistes parcourant les Causses !

Vous hésitez encore à acquérir cette flore de terrain ?Téléchargez là au format électronique pour vous rendre compte de son intérêt avant de l’acquérir.

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30 – Ombellifères de France – tome 5


36 € TTC

(Les 5 tomes : 199 € TTC)

Par J.-P. REDURON, 655 pages, 2006

Lorsque, dans les années 1980, M. Jean-Pierre REDURON évoqua son projet de dresser une « check-list » complète avec mise à jour nomenclaturale des Ombellifères de France, je ne cachais que l’initiative était fascinante, mais pouvait laisser perplexe tant la tâche s’avérait ardue. Cependant, J.-P. REDURON avait, dès 1971, des contacts avec le Muséum, en particulier avec Frédéric BADRÉ et Nicolas HALLÉ à l’Herbier national. En outre son insertion dans le groupe de recherche qu’animait notre collègue Madame CERCEAU-LARRIVAL, trop tôt disparue, laissait augurer un développement favorable de l’entreprise. Pourtant les écueils ne manquèrent pas, car la RCP 286 du CNRS était arrivée à son terme en 1977 et son renouvellement sur la thématique Ombellifères ne se réalisa pas. J.-P. REDURON continua néanmoins à collaborer plusieurs années aux travaux du Laboratoire de palynologie installé au Muséum de Paris.

Ingénieur de l’École nationale supérieure d’Horticulture de Versailles, il avait été élève du Professeur Jacques MONTÉGUT et l’on sait quelle importance ce dernier accordait à de multiples aspects de la biologie végétale, y compris dans les domaines appliqués.
J.-P. REDURON eut donc des exemples permanents de recherches pluridisciplinaires et une telle ouverture dans sa formation ne fut certainement pas étrangère aux développements qu’il allait ultérieurement donner à son projet.

Son emploi au Service des Espaces verts de la Ville de Mulhouse l’éloignait de Paris, certes, mais le rapprochait également d’autres sources de documentation prestigeuses, parmi lesquelles l’Herbier et la Bibliothèque des Conservatoire et Jardin botaniques de Genève.

D’un « catalogue commenté » déjà difficile à élaborer, la synthèse « Ombellifères de France » évolua alors vers une révision dont l’ampleur et la durée n’étaient guère soupçonnables au départ ; dès lors, J.-P. REDURON avait choisi d’inscrire ses investigations dans le long terme. Aujourd’hui, c’est le résultat de plus de vingt années de recherches, dans la bibliographie, les herbiers et sur le terrain, qui nous est présenté.

Sans doute il s’agit au premier chef d’une Monographie des Ombellifères (que les puristes nomment Apiaceae) du territoire français (avec de plus larges comparaisons), mais le propos, comme on pourra en juger, est allé bien au delà des révisions « classiques » de ce type. C’est aussi une démonstration originale de ce que peut ou devrait être l’approche moderne de la floristique au travers d’un regard savant et critique.

Tant dans la présentation des « généralités » que dans l’édification des fiches spécifiques, illustrées, le schéma des étapes de la connaissance ne manque pas de qualités didactiques, corroborées par la belle mise en pages étudiée en collaboration avec Rémy DAUNAS pour l’édition dans les ouvrages de la Société botannique du Centre-Ouest.

Ainsi dispose-t-on d’un nouvel outil de travail traitant d’une famille végétale considérée comme d’approche complexe, mais très passionnante dans son histoire, sa diversité taxinomique, ses particularités écologiques, ses utlisations anciennes ou modernes, avec un complément particulièrement consistant en phytochimie, né de sa collaboration active avec le chimiste mulhousien Bernard MUCKENSTURM.

On ne s’y trompera pas : à un certain « parfum de Flore de ROUY » se mèlent des effluves évoquant les irremplaçables Prodrome de de CANDOLLE ou Pflanzenfamilien d’ENGLER, comme les héritages des flores de BONNIER, de COSTE ou de HEGI. Puisse une relève être prise pour d’autres familles de notre flore.

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