Bulletin la Société Linnéenne de Bordeaux 153-46-1

n°153-46-1 de 2018
éditée par
la Société Linnéenne de Bordeaux
1 place Bardineau
33000 BORDEAUX
Contact : michele.dupain887@orange.fr
Site : http://linneenne-bordeaux.wixsite.com/slbx

SOMMAIRE :

CAHUZAC B., 2018 : année du Bicentenaire de la Société Linnéenne de Bordeaux (« Crescam », je croîtrai) : Jean-François Laterrade, notre fondateur. ………….. 1-2

PHIQUEPAL P. coord., Compte-rendu de la 198ème Fête Linnéenne au Domaine de Pachan (Ludon-Médoc) le 26 juin 2016. ……………………………………………. 3-6

MONFERRAND C. coord., Observations botaniques (Phanérogames, Ptéridophytes), Fête de Pachan. ………………………………………………………… 6-10

ROYAUD A. coord., Bryophytes et Lichens : Domaine de Pachan, Fête 2016. 10-11

VIGNOT B., Observations mycologiques, Fête Linnéenne le 26 juin 2016. …. 11-14

MONFERRAND C., Encore au sujet des herbiers de la Société Linnéenne de Bordeaux. …………………………………………………………………………………………… 37-39

ROYAUD A., Activités bryologiques et lichénologiques pour la Société Linnéenne de Bordeaux en 2017. . …………………………………………………………………………. 47-48

FAROU J.-L., Découverte du lichen Thelidium zwackhii (Verrucariales) en Gironde, SO France. ………………………………………………………………………….. 85-89
ROYAUD A. & TROJANI M., Sematophyllum substrumulosum (Hampe) E. Britton (Bryophyta) découvert dans le département de la Gironde. …………………… 97-101

BLANCHARD J.-C., Sur la présence d’Ophrys suboccidentalis (Orchidaceae) en Gironde. ……………………………………………………………………………………… 115-120
Remarque : + d’autres articles de zoologie

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Bulletin de la Société d’histoire naturelle et d’ethnographie de Colmar 75

n°75 de 2018
éditée par
la Société d’histoire naturelle et d’ethnographie de Colmar
Bibliothèque
11 rue de Turenne
68000 COLMAR
Contact : biblio-shne.colmar@orange.fr
Site : http://www.museumcolmar.org

SOMMAIRE :
HOFF M. & BRAHY Y. :
L’Herbier H.G. OBERLIN du Musée alsacien de Strasbourg. 3

LÜTH M. :
Les mousses et leurs habitats dans le « Cirque des Rochers verts », dans la réserve naturelle
du Frankenthal-Missheimle (Haut-Rhin).
Traduction française de Francis BICK et Bernard STOEHR. 13

BOUR A. :
La récolte de plantes vivantes in situ et la mise en culture en jardin botanique en pratique,
l’exemple de la flore vasculaire du Spitzberg. 27
Remarque : + articles de zoologie

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Lejeunia 198

n°198 de 2018
éditée par
la Société Botanique de Liège
Institut de Botanique
B22
Boulevard du Rectorat 27
4000 LIÈGE
BELGIQUE
Contact : socbotlg@hotmail.com
Site : http://popups.ulg.ac.be/0457-4184/

SOMMAIRE :
Sara MAROSKE, Susan JANSON & Tom W. MAY
JEAN-BAPTISTE BORY DE SAINT-VINCENT’S SET OF PLANTAE CRYPTOGAMICAE ARDUENNA AND THE IMPORTANCE OF MENTORS AND MODESTY IN MARIE-ANNE LIBERT’S CRYPTOGAMIC CAREER
Remarque : à lire ici : https://popups.uliege.be/0457-4184/

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Les Nouvelles Archives de la Flore jurassienne 15

n°15 de 2017
éditée par
Société Botanique de Franche-Comté
SBFC
2, Chemin de la Chapelle
25580 ECHEVANNES
Contact : max.andre@wanadoo.fr
Site : http://conservatoire-botanique-fc.org/espace-botanistes/sbfc-societe-botanique-franche-comte

SOMMAIRE :
Crossidium squamiferum (Viv.) Jur., une espèce nouvelle pour le Grand Est. F. Bick et P. Amblard
Continuité sud-jurassienne de la distribution de Neckera menziesii Drumm. (Bryophyta, Muscinées). M. Philippe et T. Legland
Riccia canaliculata Hoffm., un taxon nouveau pour la bryoflore lorraine découvert dans les Vosges. M. Stoecklin et T. Gehin
Scapania gymnostomophila Kaal., espèce nouvelle pour le massif vosgien et pour la région Grand Est. H. Tinguy
Contribution à la connaissance de la bryoflore du nord-est de la France. M. Stoecklin et T. Gehin
La flore bryologique de la réserve naturelle nationale du Rohrschollen (Strasbourg, Bas-Rhin).
Première analyse de la richesse bryologique de cinq réserves naturelles nationales rhénanes. H. Tinguy et F. Bick
Nouvelles observations de ptéridophytes rares pour le massif des Vosges. F. Thiery
Contribution à la connaissance de Corydalis intermedia (L.) Mérat dans le massif vosgien. S. Antoine
Daphne laureola L. (Thymelaeaceae) dans le Bas-Rhin. F. Tournay
L’agripaume cardiaque Leonurus cardiaca L., une plante rudérale et médicinale menacée en Franche-Comté. F. Dehondt
Redécouverte de Sideritis montana L. subsp. montana en Lorraine. M. Voirin et S. Antoine
Sur la redécouverte de deux thérophytes vernaux en territoire lorrain (Moenchia erecta et Spergulapentandra). M. Voirin
Vitis labrusca L. et ses principaux hybrides en Franche-Comté, contribution à leur caractérisation. G. André, M. André et T. Lacombe
Les vignes sauvages colluviales Vitis vinifera subsp. sylvestris (Gmelin) Hegi dans le massif jurassien, nouvelles données. G. André, M. André, Y. Ferrez et T. Lacombe
Contribution à la connaissance de la flore de Franche-Comté. Y. Ferrez
Contribution à la connaissance de la flore du territoire lorrain. J. Bonassi, D. Cartier, T. Mahévas, G. Seznec et M. Voirin
Identification de dix espèces communes de Rubus du nord-est de la France (troisième contribution). Y. Ferrez et J.-M. Royer
Nouveaux syntaxons de ronciers péri- et intra-forestiers dans le nord-est de la France. J.-M. Royer et Y. Ferrez
Matériaux pour le synopsis bryosociologique comtois : nouvelles déclinaisons du Radulo complanatae – Cryphaeetum arboreae Lecointe 1975. G. Bailly
Évolution des prairies maigres de fauche et des pelouses fauchées en Franche-Comté : exemple de la vallée de la Loue entre 2003 et 2017. É. Boucard et A. Ballaydier
Évaluation de la vulnérabilité des ripisylves de la vallée du Doubs aux plantes exotiques envahissantes. C. Nicod et M. Vuillemenot
Genèse d’une association botanique tombée dans l’oubli : la Société Lorraine d’Études Botaniques. S. Antoine

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Bulletin mensuel de la Société Linnéenne de Lyon 87 (5-6)

n°87 (5-6) de 2018
éditée par
la Société Linnéenne de Lyon
33 rue Bossuet
69006 LYON
Contact : societe.linneenne.biblio.lyon@orange.fr
Site : http://www.linneenne-lyon.org/

SOMMAIRE :
ROME M. et COPPENS d’EEKENBRUGGE G.
Taxonomie et évolution dans le genre Passiflora : synthèse des connaissances actuelles……………………………133-148.
Résumé. – Originaire d’Amérique tropicale, d’Asie du sud-est et d’Océanie, Passiflora L. est le genre le plus important de la famille des Passifloraceae avec 576 espèces. Principalement distribuées sous les néotropiques, des régions côtières à près de 4 300 m d’altitude, elles se sont adaptées à des environnements très variés et ont noué des interactions fortes et nombreuses avec des animaux (herbivorie, mutualismes de pollinisation et protection), donnant lieu à une formidable diversité d’espèces par une évolution et une phylogéographie particulièrement complexes. Dès les premières explorations botaniques du Nouveau Monde et avec la description d’un nombre rapidement croissant d’espèces, les études taxonomiques se sont heurtées à la difficulté d’interpréter la diversité morphologique en termes d’évolution, de nombreux caractères montrant une forte labilité et/ou dispersion à travers le genre. La dernière classification a réduit le nombre de sous-genres de 22 à quatre (Decaloba, Passiflora, Astropheaet Deidamioides). Les trois premiers, correspondant à trois niveaux de ploïdie dominants (2n = 12, 18, ou 24 chromosomes), ont été validés par la phylogénétique moléculaire. En revanche, Deidamioides est divisé en deux clades au moins. Enfin, les espèces dioïques au sein du genre constituent un cinquième sous-genre, Tetrapathea. Aux niveaux infrasubgénériques, les difficultés dans le classement des espèces et la compréhension de leur évolution restent nombreuses, notamment en relation avec des évolutions indépendantes pour un même trait, des évolutions réticulées, une hérédité paternelle ou biparentale du génome chloroplastique ainsi qu’une variabilité intraspécifique voire intra-individuelle pour certaines séquences génétiques.

TISON J.M. Rédacteur
Relevés : B. Berthet-Grelier, P. Brachet, L. Garraud, G. Macqueron, M.-T. Mein, L. Roubaudi, S. Serve, J.-M. Tison et J. Van Es
Compte-rendu de la session botanique de la Société Linnéenne de Lyon en Corse-du-Sud (du 19 avril au 2 mai 2017)……………………………………………………..149-175.
La plupart des sorties concernent les communes de Porto-Vecchio (Portivecchju en corse) et de Bonifacio (Bunifaziu) et leurs environs immédiats, au sud-est et jusqu’à l’extrémité sud de l’île. Des excursions plus lointaines ont été faites en montagne sur un circuit passant par le col de Bavella (Bocca di Bavedda), et, pour l’un des groupes, sur la côte ouest à Ajaccio (Aiacciu) et Propriano (Pruprià).Les sites visités sont pour les uns sur granite, pour les autres sur calcaire. Sur l’ensemble du littoral et le plateau bonifacien, nous avons observé les groupements de l’étage thermoméditerranéen ; plus à l’intérieur des terres, jusqu’à 700-800 m d’altitude, nous étions dans le mésoméditerranéen ; lors de notre excursion au col de Bavella (1218 m), nous avons traversé l’étage supraméditerranéen et atteint la base du montagnard.Selon gaMisans & MarzoCChi (2003), la Corse comprend 296 taxons « endémiques », soit environ 12% de sa flore. Ce terme n’a de sens que si on précise la zone d’endémisme. En fait, les corses et cyrno-sardes ne représentent que 8 à 9% de la flore, ce qui est déjà beaucoup, auxquels on peut ajouter 1% pour celles présentes sur d’autres îles ouest-méditerranéennes (archipel hyérois, archipel toscan, Baléares) ou très exceptionnellement dans des îles croates (Teucrium marum) ou en Crète (Lepidium oxyotum). La Corse et la Sardaigne sont étroitement liées sur le plan floristique. Elles ont cependant leurs particularités propres, la première étant marquée par son caractère très montagnard et donc par le grand nombre d’orophytes endémiques, la seconde, plus grande mais beaucoup moins accidentée, par les refuges isolés favorisant l’endémisme local aux étages thermo- à supraméditerranéen.Dans le compte-rendu qui suit, les espèces les plus fréquentes à l’échelle de la session (cinq observations ou plus) ne sont citées qu’une seule fois afin de limiter la longueur des listes ; leurs noms sont précédés d’un astérisque *. Il est certain que d’autres plantes tout aussi banales ont été sous-observées en raison de leur cycle trop avancé ou pas assez lors de la session. Les noms en caractères gras correspondent aux espèces considérées comme absentes de France continentale à l’état spontané. Enfin, ceux en caractères gras soulignés correspondent aux espèces ayant un degré notable d’endémisme (précisé entre parenthèses). Afin de faciliter la compréhension des biotopes naturels, les espèces notoirement exotiques ne sont pas incluses dans les relevés mais citées dans la présentation des sites ; il en va de même pour les quelques bryophytes citées.Certaines localités n’ont pu être inspectées efficacement que grâce aux pointages fournis par le Conservatoire Botanique National de Corse (CBNC) que nous remercions vivement. Un émissaire de cette institution, Alain Delage, nous accompagnera d’ailleurs le 3 mai sur le site de la Punta Calcina.

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